Quand la philosophie éclaire nos mondes imaginaires… et notre réalité
Et si les grandes dystopies n’étaient pas seulement des fictions sombres, mais des mirroirs conceptuels de notre monde ?
Et si l’on faisait dialoguer Orwell, Huxley, Atwood ou Bradbury avec Foucault, Platon, Arendt ou Marx ?
Cette série d’articles croise philosophie et romans dystopiques, pour faire émerger les dilemmes profonds qui traversent nos sociétés :
liberté, vérité, pouvoir, mémoire, identité.

Chaque épisode associe un philosophe à une œuvre dystopique :
- Foucault & 1984 : surveillance et pouvoir invisible
- Platon & Le Meilleur des Mondes : quand l’ordre détruit la pensée
- Sartre & Brazil : absurdité, liberté, et fuite du réel
- Arendt & The Handmaid’s Tale : domination douce et banalité du mal
- Berlin & Nous autres : quand la liberté devient coercition
“La philosophie rend visible ce que la fiction rend sensible.”
À travers ces tandems, on lit la dystopie non plus comme une simple fiction noire, mais comme une philosophie en action, un outil pour penser notre présent autrement.








